Suite à un temps d’échange et de réflexion entre les conseillers fédéraux et le bureau exécutif
sur la situation politique actuelle et l’avenir d’EELV : synthèse présentée en plénière par Charlotte Soulary rapporteure du groupe de travail.
Deux sujets ont été abordés :
- notre rapport à l’Europe
- notre Place comme part vert au sein de la gauche politique et citoyenne
CONSTATS
- les dynamiques vécues en France sont les mêmes que partout en Europe : les partis verts se réintègrent dans des coalitions plus larges
- Le rejet des partis politiques n’est pas structurel puisque de nouveaux partis/mouvements se créent
- La question européenne semble être un point de clivage dans la faute française : jusqu’où aller pour contester l’Europe actuelle ?
- On n’a pas trouvé les mots qu’à trouvé la France insoumise pour parler d’une Europe sociale et écologique
- L’écologie n’est pas ce qui a été déterminant dans le succès de FI ni dans l’échec d’Hamon
- La crise de régime qui touche les institutions françaises est la même que celle qui touche les institutions européennes
- Brouillage des plans pour l’Europe que peut formuler Eelv : on ne veut pas sortir de l’Europe mais on veut une Europe transformée : stratégie illisible
PROPOSITIONS
- clarifier ce que l’on vit comme Europe sociale et écologique, avoir un plan plus clair pour l’Europe
- clarifier notre vision de la meilleure stratégie : rester minoritaire et faire des alliances ponctuellement ou faire des alliances de façon plus volontariste
- s’impliquer davantage avec des réseaux comme Diem 25, les réseaux européens des associations environnementales, etc.
Texte non soumis au vote
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